
Warner Music Magdalena Kožená - Gluck: Orphee et Eurydice, DVD Classique
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Information produit
Warner Music Magdalena Kožená - Gluck: Orphee et Eurydice, DVD. Genre: Classique, Type de support: DVD, Artiste: Magdalena Kožená. Type d'emballage: Keep case
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L'ouverture est une scène avec un personnage unique vêtu d'une robe bleue/noir et un visage pâle, le chœur de fond a des visages verts. J'ai initialement pensé que la figure centrale était Eurydice attendant d'être transportée dans l'underworld, mais j'étais erroné.
Cette très féminine figure est Orphée et le rôle de pantalon fait peu pour cacher Magdalena Kozena comme un masculin mais on s'y habitue après un moment. Kozena a une belle voix.
Les deux premières scènes sont une série d'arias courtes dans lesquelles Orphée exprime ses sentiments de amour et de perte pour Eurydice.
À ce stade, je vais mentionner la mise en scène qui est inexistant, plancher vide, fond décor vide en bleu et accessoires en bleu presque un rocher ou une arbre peint sur le fond décor.
Dans la troisième scène Patricia Petibon dans une robe de courte étoffe comme l'Amour est au moins animée, j'aime beaucoup sa voix et elle fait partie des artistes de mon préféré. Elle offre une option pour restaurer Eurydice du monde souterrain.
Orphée décide d'aller sauver Eurydice avec un superbe démonstration de colorature et ainsi se termine l'acte 1.
Dans l'acte 2 les furies et les esprits sont le chœur juste vêtus de robes noires, comme quoi que soit ils chantent au cours du temps ce sera la même. Les sections de ballet sont soit une promenade du chœur soit un regard vers l'orchestre... Dans la partie finale de cet acte Orphee erre autour d'elle en se sentant angoissée.
Dans la deuxième scène Eurydice porte une longue robe bleue avec un épaule nue, le non existent ballet passe par avant que Madeline Bender chante, jolie voix claire avec une belle vibrato, le chœur des esprits heureux sont bien sûr le chœur vêtus de leur habillement habituel..
Dans l'acte 3 Orphee est arrivé dans le monde souterrain et vrai à sa brève il essaye d'amener Eurydice hors mais juste en étant demandé a suivre elle considère comme indifférence. Lorsque Orphée se tourne pour plaider, elle meurt de nouveau et la célèbre aria est chantée par Orphée.. Il désespère et aspire à la mort. l'Amour intervient et relève Eurydice et leur amour continuera dans leurs différents mondes.
Le dernier chœur explique comment les dieux contrôlent tout.
Cantonnement - cinq étoiles
Production et conception de scène - cinq étoiles
Réproduction sonore - trois étoiles - comme en a déjà noté un autre lecteur, l'enregistrement capte beaucoup de toux et de bruit d'assistance, parfois à des moments inopportuns. Pas assez pour le ruiner, mais semble une erreur élémentaire.
Imagerie - trois étoiles - tant que j'ai pu voir de Robert Wilson et des productions similaires, l'efficacité dépend de la possibilité de voir tout le plateau à la fois. Il est très difficile de reproduire cela dans un enregistrement TV / film, et les sauts entre les gros plans éloignent de l'effet.
La représentation de 'Orphée' au Théatre Musical de Paris-Chatelet en 2000, mise en scène par Robert Wilson et dirigée par John Eliot Gardiner, était une expérience inoubliable. Le rideau s'est ouvert sur Orphée lamentant la mort d'Eurydice, le peuple pleurait les souffrances du chanteur. La scène d'ouverture était pleine de pathos, presque comme un office funèbre. Le décor était minimaliste, avec des rochers et des arbres stylisés, mais sans aucun autre élément. Les couleurs bleu clair et bleu foncé se sont alternées avec le noir brillant, suivi d'un éclat de lumière. Les formes géométriques et les contours nets caractérisaient la scène, les personnages agissaient comme des statues vivantes. La mise en scène était conforme au caractère sacré-statuaire du travail. L'eût classique et strict, ainsi qu'un air aristocratique, dénotaient la musique de Gluck. La forte présence des chœurs conférait à son œuvre un aspect oratorio. Même si je ne suis pas nécessairement fan de l'esthétisme pur de Wilson, il semblait comme fait pour ces œuvres comme 'Orphée' et 'Alceste', qui ont été inscenes ensemble en 2000, voir également ma critique de la version parisiene d'Alceste'. La distribution était au niveau des meilleurs que l'on puisse souhaiter pour une représentation d'Orphée': Magdalena Kozena etait convaincante comme Orphée avec une prestation vocale remarquable, parlant français comme si c'était sa langue maternelle. Madeline Bender comme Eurydice: une apparition presque etheree, avec un sopran silbrin fin. Patricia Petibon a mis en valeur son timbre doux et clair en tant que personnages allegorique de l'amour (Amour) dramatiquement accentué. L'orchestration transparente de Gardiner. Conclusion: 'Orphée' français de Gluck se différenciait du original italien par son aura française, qui demande une autre stylisation que le passionnel italien. Les productions de Wilson des deux œuvres sœurs 'Orphée et Alceste sont à cet égard idéales.
Pays : AllemagneTrès bonne prestation vocale, scénique et une mise en scène minimaliste suffisante font de cette opérette un bon achat. C'est une excellente préparation pour les représentations que j'ai réservées au théâtre de Covent Garden.
Pays : Royaume-Uni