ImportCDs In the Rainbow Rain Vinyl Pop rock

J'ai été un grand fan de Okkervil River pendant longtemps. Lorsque Black Sheep Boy, The Stage Names, The Stand Ins, I Am Very Far et (d'une moindre importance) The Silver Gymnasium sont sortis en même temps, j'étais convaincu que Will Sheff ne savait pas écrire une mauvaise chanson. Lorsque Away est sorti, c'était la première fois que je finissais un album Okkervil River me sentant insatisfait. J'ai retenu le chemin de leurs efforts précédents m'immédiatement électrifiant et je n'ai pas pu trouver dans aucune de ses pistes le même arrêt-giving lyrical pithiness ou des hooks inoubliables dans les mélodies. Et quand j'ai écouté pour la première fois In the Rainbow Rain, j'étais convaincu qu'il s'agissait juste d'une autre version du voyage de la bande vers le bas sur terre.

Il a fallu quelques essais à mes yeux pour apprécier ce que Sheff faisait ici et même si après quelques jours de lecture j'en pensais toujours que je ne mettrais pas là partout dans l'incroyable du précédent travail (lyriquement, soniquement, spirituellement, etc.), il se sentait comme un retournement qui reconjures une partie de la magie qui a rendu le groupe si spécial avant. Les trois premiers morceaux de l'album (« Famous Tracheotomies », « The Dream and The Light » et « Love Somebody ») sont, arguablement, les meilleurs que le disque a à offrir et ils appartiennent dans la conversation avec certaines des meilleures œuvres d'Okkervil River. Ils montrent les méditations singuliers de Sheff et la nature presque percussive de ses paroles, qui améliorent la mélodie avec une formulation qui convient comme un gant que délibérément déploie l'allitération et l'assonance avec tout le minutieux d'un célèbre poète. «Pulled Up The Ribbon» ressemble à ce qui appartient sur I Am Very Far, exemplifiant la position de la bande avec une chanson thumpant, anthémique qui plus ou moins cimente ça dans les setlists du groupe pour des années à venir. «External Actor » rappelle l'expressionniste folk rare de Black Sheep Boy, bien sûr beaucoup plus amusante que n'importe quel chose sur cette sortie.

Le reste du disque remplit le temps suffisamment si pas avec une certitude. Les pistes, même s'il ne s'y trouvait peut-être pas aussi immédiatement mémorable que la plupart du catalogue de groupe, sont au moins agréablement, en utilisant une combinaison de l'expression crooner émotionnel de Sheff, l'écrivain pensif et les arrangements instrumentaux intéressants et complexes. Même si le disque a été surproduit et tend à certains des sucreries douces du Top 40 de la fin des années 1980 introduisent les mêmes problèmes qui ont bloqué The Silver Gymnasium d'atteindre l'œuvre Sheff est le plus connu, les paroles sont suffisantes pour surmonter la brillance étincelante.

In the Rainbow Rain est un disque satisfaisant incontestablement qui, quand il est écouté à l'extérieur de l'ombre du catalogue d'Okkervil River abnormally exquis, offre beaucoup aux fans pour aimer. Sheff est comme une version musicale d'un pointilliste : offrant à nous la musique précisionnée avec des détails qui peuvent être appréciés plus profondément avec patience et inspection étroite.

L'album Okkervil River, 'In The Rainbow Rain', est un effort joyeux et diversifié marqué par des guitares électriques exceptionnelles, des synths des années 80 et du classique soul/rock. Il s'agit d'une grande différence par rapport à l'album de 2016, 'Away.' Cet album était une introspection acoustique mélancolique (Astral Weeks rencontre On The Beach.)

Les deux premières pistes (Famous Tracheotomies et The Dream and The Light) sont des classiques de la période moyenne d'Okkervil River (Stage Names/Stand Ins). Le chanteur/leader Will Sheff chante des paroles littéraires avec dramatisme sur des notes de piano roulantes et des guitares étincelantes. L'étrange bruit/vibrato du folk violent de leurs albums anciens est presque disparu.

Pulled Up The Ribbon présente des guitares brillantes qui se sontomment comme 'oceans of sky.' Don't Move Back to LA ressemble ironiquement à une chanson soleillée de Laurel Canyon (LA).

L'album est un mélange de musique joyeuse qui ne serait pas sortie d'étonnante sur la radio des années 70/80. Voici un échantillon de sons et d'influences que j'ai détectées: Vintage Fleetwood Mac; Hello it's Me era Todd Rundgren; inspiration gospel/classique soul; solos de guitares qui s'enfuient (Dire Straits) et sax, synths et encore plus de sax (imagine Robert Smith au devant de The Psych Furs: C'est un bon truc!) Presque tous ces éléments se rassemblent sur la dernière époustouflante chanson technicolor, Human Being Song. Cette chanson ressemble à quelque chose que Paul McCartney aurait pu écrire pour Les Beatles comme le troisième joyau après Hey Jude et Let it Be.

'Away' fait sentir l'auditeur boire du thé en lisant un livre sur une journée de pluie.
'In The Rainbow Rain' a la même personne allant se promener dans la pluie en attendant le soleil qui est sûr d'arriver.