ISBN 9782263173219

La pratique de la parentalité positive se heurte rapidement à des limites : celles des parents, avec la culpabilité qui accompagne le fait de ne pas y arriver. Cet ouvrage décrypte les idées reçues qui circulent sur les réseaux sociaux et la pression qui peut s’exercer sur les jeunes parents aujourd’hui.
Avec l’avènement des neurosciences et les récents progrès en neuropsychologie, le changement dans les méthodes éducatives a été particulièrement fulgurant. Articles de blog et posts Instagram racontent avec enthousiasme la nouvelle mère 2.0, pétrie de concepts neuroscientifiques et de théories éducatives bienveillantes. Pourtant, l’analyse de ces témoignages révèle le plus souvent une interprétation abusive des études scientifiques mises à la disposition du grand public. Une vulgarisation de vulgarisation qui n’a plus grand-choseà voir avec l’original.Marie Chetrit s’appuie sur son bagage professionnel de scientifique ainsi que sur sa propre expérience pour décrypter ces dérives et redonner une vision juste, équilibrée ettout en nuances, de ce qu’est réellement l’éducation positive, valorisant le bon sens et le respect de soi-même. Car, à la genèse de tout enfant, il y a des parents. Et il est essentiel que ces derniers conservent leur équilibre, sans se sacrifier totalement.
L’auteure est mère et belle-mère de 4 enfants âgés de 5 à 16 ans. Dans la vraie vie, elle est docteure en sciences et travaille dans la recherche académique. Adepte de l’éducation positive, un sens aigu des réalités l’a amenée à revoir à la baisse ses ambitions d’exigence parentale. Durant son (mince) temps libre, elle tient un blog plein d’humour sur sa vie de famille, sous le pseudonyme de Marie Chetrit (Les petits ruisseaux font les grandes rivières www.prgr.fr). Elle est également chroniqueuse pour le site Fabuleuses au foyer.