ISBN Le Passager livre Thrillers Français
ISBN Le Passager, Thrillers, Français, 984 pages
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Information produit
Je suis l'ombre. Je suis la proie. Je suis le tueur. Je suis la cible. Pour m'en sortir, une seule option : fuir l'autre. Mais si l'autre est moi-même ?...Grangé a le chic, en construisant avec une minutie d’horloger son intrigue au long cours, de rendre crédible ce que son imagination débordante invente de façon totalement débridée. Bravo l’artiste ! Blaise de Chabalier, Le Figaro littéraire. Diaboliquement construit suivant le principe des poupées russes, Le Passager se dévore avec un mélange d’effroi et de jubilation. Grangé explore la frontière ténue qui sépare la raison de la folie. Celle floue entre le bien et le mal. Il nous entraîne vers des abîmes d’autant plus angoissants qu’il les a puisés dans l’ordinaire – à peine exagéré – de la société contemporaine et ses dérives. Hubert Lizé, Aujourd’hui en France.
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Ce roman m'a initialement intéressé mais il a fini par me lasser. L'histoire commence bien, avec un meurtre issu de la mythologie dans une gare bordelaise et le mystère d'un amnésique retrouvé. Cependant, le livre devient trop compliqué avec trop de personnages créés par le cerveau du protagoniste. Je trouvais cela intéressant pour commencer, mais l'histoire se perd ensuite et les rebondissements de fin ne sont plus étonnants. Le roman aurait gagné à être plus simple et abordable. Malheureusement, il est trop long et dilué.
Ce roman a été écrit comme d'habitude par J-C Granger, mais je n'ai pas eu mon plaisir habituel à la lire. Le thème choisi : 'La folie', m'a déstabilisé dans ma lecture. D'autant plus que le personnage principal, Mathias Frère, avait six noms d'emprunt. Les derniers mots du livre, 'Quel est votre nom' et la réponse : 'Aucune idée' correspondent bien à mon avis.
Ce jeu offre des pistes et des personnages attachants, même s'ils ont un caractère fort. On y trouve beaucoup de rebondissements et d'actions entre les personnages, ce qui est très agréable si on aime cette type de chose.
L'auteur nous entraîne dans un univers sombre, celui des hôpitaux psychiatriques et de la vie des sans-abris. La folie y est réelle, mais c'est aussi une métaphore pour les dangers du pouvoir et de l'avidité humaine. L'écrivain nous fait partager une histoire longue et jamais lassante, où la mythologie joue un rôle important. Si la fin peut être un peu prévisible, l'ensemble est émouvant et engageant.
