À Saulnières, tout gravite autour de « l’usine à Franquin ». Mais c’est sur les bords de la Blaise que Joseph et Hubert se retrouvent. Tout devrait opposer ce fils d’ouvrier et le cadet du patron, or les deux garçons s’entendent comme larrons en foire. Faire le mur, voler des cerises… Ensemble, ils ont les quatre cents coups._x000D_
Un ciel noir, hélas, plane sur leur jeunesse. Bientôt, ce sera le tocsin, les tranchées, les idéologies qui s’affrontent, la vie qui sépare sans briser les amitiés, un monde qui bascule : il faut que tout change, pour que rien ne change…
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« Un mélange stimulant entre l’addiction de lecture du Gang des rêves de Luca Di Fulvio, les personnages captivants de la saga de Marie Laberge Le Goût du bonheur, et le côté social et engagé des Thibault de Roger Martin Du Gard : telle est la recette de cette réussite ! » Aurélie Sonnay – Librairie Payot
Instituteur à la retraite, Olivier Cojan se consacre à ses deux passions : la lecture et l’histoire du XXe siècle. Avec la saga Le Pays où vont mourir les rêves, il construit une fresque qui met en scène plusieurs familles en intégrant avec habileté toutes les tragédies du siècle précédent à Saulnières, petit coin de campagne où il a grandi. À ce jour, Olivier Cojan a publié quatre tomes de la saga : Dernières nouvelles du monde, N’oublie jamais, De toutes nos forces et Ainsi finit la nuit, chez Ella Éditions. Le cinquième tome est en cours d’écriture, il y en aura six au total.