Bethesda The Evil Within 2 PlayStation 4

Je me suis réellement amusé avec ce jeu. En tant que joueur plus âgé, moins agile et souffrant d'arthrite à la main, j'ai pu choisir des paramètres qui m'ont permis de jouer de manière exceptionnelle malgré ma lenteur et mes difficultés physiques. Le gameplay était captivant, plein d'aventure, d'épouvantail et de monstres à abattre. Un jeu très complet avec beaucoup d'idées ingénieuses pour le rendre intéressant.

Après avoir joué à la première partie sur sa console précédente, je me suis décidé à poursuivre l'histoire de Sebastian Castellanos. C'est une excellente décision. Le jeu est long, varié, avec des graphiques très bons et une histoire plutôt bonne. Je le recommanderais à tous les fans de séries comme Resident Evil, ils ne seront pas déçus.

Je suis vraiment déçu que ce jeu soit si bien fait, mais que les dialogues et les sous-titres ne soient pas en français. C'est dommage pour un produit qui aurait pu être parfait.

Le jeu The Evil Within 2 est devenu une histoire plus personnelle que le premier épisode, ce qui n'est pas très souvent vu dans le genre survival horror, où l'intrigue est généralement scientifique. Ici, la famille du protagoniste joue un grand rôle dans l'histoire, ce qui donne à l'intrigue un ton immédiatement plus proche de Silent Hill, en particulier comme Silent Hill Shattered Memories avec le protagoniste cherchant sa fille et les souvenirs résiduels tout au long du jeu qui sont très similaires. Les influences provenant d'autres titres de survival horror incluent The Last of Us (création sur un banc, l'univers du jeu), Dishonoured (la ville brisée flottant dans le ciel comme îles, le personnage Stefano ressemblait beaucoup à moi à Dishonoured), Resident Evil (collectage d'herbe pour faire de la santé, l'univers du jeu), Dead Space (l'ennemi avec une griffe, le jeu play du final boss Myra est similaire à The Hive). J'ai vu des films également dans là-dedans, The Cell (les objets d'art et l'entrée de la pensée pour sauver quelqu'un). La partie où notre protagoniste est confronté par le passé, les démons dans sa tête du premier Evil Within étaient très bien faites, comme c'était dans Doctor Sleep où Danny maintenant adulte vit des évils de The Shining se réemergent pour l'effrayer. C'est évident que je connais The Evil Within 2 était sorti avant Doctor Sleep. Le célèbre tapis de Overlook Hotel de The Shining est maintenant ici comme papier peint dans La Mairie.

Je n'ai pas de problème avec l'utilisation des influences et les idées d'autres jeux pour The Evil Within 2, cependant j'ai ressenti que le premier était beaucoup plus effrayant et plus difficile. Les pièges incessants et certaines des conceptions qui ont été introduites dans le premier jeu étaient inégalés et malheureusement pas présents dans ce second épisode, certains des chefs ici sont de simples humains défigurées (Stefano, O'Neal, Theodore). Il y avait quelques moments de brillance mais l'absence d'une chose épique était le sentiment général. Le son musical de synthésiseur sombre du premier jeu n'est pas aussi intense là-dedans, un son plus organique commença à apparaître, cordes, la note est la plus marquante dans les derniers chapitres comme il se dirige vers sa maison et puis vers le haut de la colline, une pointe de tristesse était là. Enfin, une version du Duran Duran's Ordinary World pour finir pendant les crédits, suggérer que notre protagoniste essayait de continuer la vie sans sa femme.

Je me suis encore beaucoup amusé avec le jeu mais généralement je n'ai pas senti comme si j'étais dans l'univers Evil Within du premier. Je regarde en avant à un troisième épisode s'ils en font un.