ISBN 9782258196094
ISBN 9782258196094, Français, Livre broché, 240 pages
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Information produit
« On ne saurait segmenter une société sur une base raciale sans condamner chaque groupe à s’enfermer dans sa couleur de peau, qui devient dès lors l’ultime frontière au cœur de la vie sociale. »L'essai sur le wokisme de l'année.
La vision racialiste, qui pervertit l’idée même d’intégration et terrorise par ses exigences les médias et les acteurs de la vie intellectuelle, sociale et politique, s’est échappée de l’université américaine il y a vingt ans. Et la voilà qui se répand au Canada, au Québec et maintenant en France. Elle déboulonne des statues, pulvérisant la conscience historique, elle interdit de parler d’un sujet si vous n’êtes pas héritier d’une culture, et vous somme de vous excuser « d’être blanc », signe de culpabilité pour l’éternité. Le racialisme sépare et exclut, n’apporte pas de libertés quoi qu’en disent ses hérauts, et, plus dangereux, modélise une manière de penser le monde.
Mathieu Bock-Côté est sociologue, et chroniqueur pour la presse québécoise et française. Ses travaux portent sur le régime diversitaire, le multiculturalisme et les mutations de la démocratie. Seul lui pouvait signer un essai aussi éloquent, percutant. Sidérant même.
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C'est le deuxième livre de l'auteur que j'achète et je ne suis pas déçue. C'est une critique construite, avec de nombreuses ressources, qui reprend des événements en les analysant avec une volonté de faire réfléchir le lecteur.
Ce livre offre une perspective précise sur certains aspects de la société française. L'auteur aborde des sujets importants avec sincérité, ce qui rend la lecture engageante et réfléchie.
Cet essai est brillant et critique. L'auteur nous propose une vision claire du sujet, centré sur le mouvement de la 'gauche woke'. On remarque que l'auteur souligne les comportements haineux et exclusifs au sein de ce mouvement, ainsi que la peur de transgresser ses dogmes. Il met également en lumière la compromission des milieux influents de la société. L'importation et diffusion en Europe d'idéologie globaliste favorisée par les gouvernements actuels sont également critiquées. On regrettera toutefois qu'il ne consacre pas une part plus importante aux penseurs néo-marxistes, comme Theodore William Allen ou Noël Ignatiev, qui ont initié le mouvement pour avancer leur agenda révolutionnaire.
Ce livre dépeint bien l'idéologie woke et ses principes. Cependant, il semble manquer d'arguments solides pour contredire ces croyances et leur prétendue efficacité...
