ISBN L'ami imaginaire livre
ISBN L'ami imaginaire, 984 pages
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Information produit
Une mère et son fils en cavale trouvent refuge dans la petite communauté de Mill Grove, en Pennsylvanie. Mais dans ce havre de paix, le petit garçon disparaît. Quand il émerge de la forêt six jours plus tard, il a l'air indemne. Lui seul sait que quelque chose a changé. La voix du bois est dans sa tête et lui dicte une mission. S'il ne lui obéit pas, sa mère et tous les habitants de Mill Grove risquent de subir son courroux...Après le succès planétaire du Monde de Charlie, Stephen Chbosky nous entraîne dans un roman sombre et captivant où le surnaturel, l’angoisse et l’horreur s’invitent à chaque page.Un long cauchemar que Stephen Chbosky semble vouloir prolonger ad infinitum pour le plus grand plaisir du lecteur amateur de sensations fortes et de nuits blanches. Bruno Corty, Le Figaro littéraire.Un chef-d’œuvre fantastique. Jean-Paul Guéry, Le Maine libre.Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean Esch.
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J'ai résisté jusqu'à la 500ème page mais avec environ 1000 pages à parcourir, j'en ai eu finalement marre de continuer. L'idée première était bonne et m'a intriguée, sinon je n'aurais pas poursuivi jusque-là. C'est la lenteur et le côté répétitif qui me font arrêter. Plus j'avance, plus il me semble relire les mêmes passages et avancer à grand peine, ce qui devient vraiment pénible depuis un moment. C'est dommage car il y avait du potentiel dans cette histoire de fantasy.
Ce roman a un début intéressant, mais il est trop long et contient de nombreuses digressions. La fin est également brouillonne. Globalement, je n'ai pas été convaincue.
Le livre est long mais on ne voit pas le temps passer... Beaucoup (trop?) de rebondissements dans la 2ème partie du livre mais cela n'enlève en rien le suspense bien présent jusqu'à la fin. Je me suis régale.
L'auteur revendique son inspiration Kingienne et je dois dire qu'elle se ressent tout au long du roman, tant par sa structure bien rôdée – l'apparition d'un élément surnaturel et ses conséquences sur une petite communauté – que par l'étude approfondie des personnages. Bien que très original et captivant, je pense que ce roman aurait gagné à être moins formaté par l'auteur lui-même, pour y laisser surgir sa propre patte, sa propre singularité.
