ISBN La Guerre des amoureuses (La Guerre des trois Henri, Tome 2)
ISBN La Guerre des amoureuses (La Guerre des trois Henri, Tome 2), Français, 640 pages
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1586. Le duc de Guise, surnommé le Balafré, contrôle la moitié de la France. Henri III n’est même plus roi à Paris où la Ligue fait la loi, tandis que le huguenot Henri de Navarre conduit une guerre d’escarmouches dans l’ouest du royaume. Décidée à y mettre un terme, Catherine de Médicis part rencontrer Navarre, héritier légitime selon la loi salique, pour le convaincre de se convertir. Tiraillé entre sa foi catholique et son amour pour la protestante Cassandre de Mornay, Olivier Hauteville se retrouve au cœur du conflit, face à la terrible duchesse de Montpensier qui fomente un odieux complot… Intrigues de cour, machinations, enlèvements : Jean d’Aillon brosse avec La Guerre des amoureuses un portrait audacieux de la France du XVIe siècle. Après Les Rapines du duc de Guise, le deuxième volet de la trilogie romanesque de Jean d’Aillon.
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Je n'avais jamais entendu parler de cet auteur, mais depuis que j'ai découvert ses œuvres, je suis complètement accrochée ! Je lis avec passion les aventures qui se déroulent dans une période particulièrement complexe et dramatique, entre les règnes d'Henri III et Henri IV. C'est un groupe de trois livres que j'adore.
L'auteur à l'oeuvre prolifique nous replonge dans l'histoire ancienne tantôt en Angleterre, le plus souvent en France. Ses romans aux péripéties nombreuses sont d'une lecture aisée.
Les intrigues de Marie de Médicis sous fond de guerres de religion avec le roi de Navarre nous tiennent en haleine tout le long du livre. J'ai apprécié ce combat des chefs entre catholiques et protestants qui m'ont remis en mémoire mes cours d'histoire de façon ludique et agréable.
Après avoir lu les "Rapines du duc de Guise", tome 1 de la série, que j'ai acheté par hasard, je voulais voir la suite, elle ne m'a pas déçu. L'histoire est vraisemblable, très bien documentée, se situe bien au milieu des événements historiques réels. Elle relate avec réalisme les mœurs de l'époque, tant au niveau politique, personnel, familial, ainsi que dans la vie de tous les jours : repas, commerce, et hélas exécutions non seulement des bandits de grand chemin, mais aussi du peuple simplement parce que certains ont des religions différentes, par jalousie ou par lucre.
