
ISBN 9782841115402
ISBN 9782841115402, Français, Livre broché, 80 pages
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Les morts n’ont pas tous les droits. Il est parfois nécessaire de s’affranchir de leur tyrannie par la violence pour parvenir à les aimer encore et toujours.
« C’est tellement simple, les romans. Un début, un milieu, une fin. Et hop, on passe à autre chose. Mais là, il n’y a pas de suite. La fin est totale. Cette chambre est celle d’un crime que je n’ai pas eu le droit de commettre dans mes propres livres. »
À trente-six ans, Nicolas d’Estienne d’Orves a imposé sa personnalité singulière depuis ses débuts de critique au Figaro littéraire. Mélomane averti, il a affirmé sa passion pour l’opéra, la musique militaire et la chanson paillarde dans le mensuel Classica et l’émission « Étonnez-moi Benoît » de Benoît Duteurtre, sur France Musique, où son passage a marqué les esprits. Son œuvre romanesque frappe par son originalité : fils spirituel de Barbey d’Aurevilly et de Reiser, Nicolas d’Estienne d’Orves reste fasciné par le monstrueux et le baroque, mais son humour caustique et sa curiosité insatiable pour ses contemporains en font un romancier de la drôlerie et de la légèreté. En 2002, Fin de race (Flammarion) lui vaut un concert d’éloges critiques, et Othon ou l’Aurore immobile (Les Belles Lettres) est couronné par le prix Roger-Nimier. Insensible au sectarisme parisien, Nicolas d’Estienne d’Orves s’essaie au grand roman populaire en 2007 ; Les Orphelins du mal (XO) se révèle un coup de maître et un best-seller mondial. Première véritable incursion dans l’écriture autobiographique, Je pars à l’entracte sonne le grand retour de Nicolas d’Estienne d’Orves dans l’espace littéraire, et surprendra tous ses lecteurs par sa tonalité implacable.
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