ISBN Terrific Mother livre Couverture rigide

Ce n'est pas habituellement quelque chose que je choisirais mais j'ai voulu essayer quelque chose de différent et cela était court et bon marché.
Une jeune femme part vivre avec des artistes et des universitaires mais elle ne s'intègre pas donc elle s'échappe à une autre maison de femmes.
J'ai trouvé le début du livre intéressant et j'ai aimé la fin mais j'ai trouvé que la plupart du reste du livre était correct sans rien d'exceptionnel.
À la fin, j'ai cependant trouvé qu'il s'agissait d'une vision astucieuse et sensible de l'amour et des relations dans une perspective nouvelle. Plus réel que romantique.
J'y recommande.

C'est une sorte de tragédie vêtue en comédie. Profond. Witty. Poétique sans la tristesse ou l'élégance fastidieuse de la poésie. Contenant les meilleurs scènes de massage non-érotique que j'ai jamais lu ! Intellectuellement riche, mais avec une intelligence émotionnelle gardée en équilibre par l'humour, qui attaque l'intellectualisme exalté avec subtilité. Bien que cette histoire soit presque un quart de siècle vieille, c'est une écriture espoir : laissant les grands de la littérature victorienne loin derrière, les gens peuvent encore écrire comme cela ! Un petit, brillant morceau d'écriture.

J'ai été vraiment ennuyé à lire cette histoire. À partir de la blurb, il semblait que cela aurait pu aller dans une autre direction... quelque part un peu plus sinistre/relatif à la criminalité ?

J'aime beaucoup l'écriture de Lorrie Moore. Cependant, cette nouvelle déçoit. Elle commence avec une superbe idée (femme fait accidentellement mourir le bébé d'une amie en page 2) mais puis stagné ensuite. (Ce qui peut être un reflet intentionnel du fait que la vie de l'héroïne s'égare, mais ce n'est pas pour autant cela qui rendra la fiction passionnante.). L'héroïne se réinstalle temporairement dans les Alpes italiennes et trouve sa vie émotionnelle/ spirituelle secouée. Cependant, il y a le sentiment d'être bloqué dans un tourbillon sans avancement vers l'avant - sauvé par la prose agréable de Moore et ses attaques scathing envers les conversations des universitaires importants.