
Toutes blessent, la dernière tue (Poche)
ISBN 9782266291903, Français, 800 pages
Produits similaires
Information produit
Maman disait de moi que j'étais un ange._x000D_
Un ange tombé du ciel._x000D_
Mais les anges qui tombent ne se relèvent jamais...
_x000D_
Tama est une esclave. Elle n'a quasiment connu que la servitude. Prisonnière de bourreaux qui ignorent la pitié, elle sait pourtant rêver, aimer, espérer. Une rencontre va peut-être changer son destin...
_x000D_
Gabriel est un homme qui vit à l'écart du monde, avec pour seule compagnie ses démons et ses profondes meurtrissures. Un homme dangereux. Un matin, il découvre une inconnue qui a trouvé refuge chez lui. Une jeune femme blessée et amnésique. Qui est-elle ? D'où vient-elle ?
Ce roman a reçu le Prix Plume d’Or du thriller francophone, le Prix Ėvasion, le Prix du Book d’or thriller du Prix Bookenstock et le Prix de l’Ėvêché
Karine Giebel a été deux fois lauréate du prix marseillais du Polar : en 2005 pour son premier roman Terminus Elicius (collection « Rail noir », puis réédité chez Belfond en 2016) et en 2012 pour Juste une ombre (Fleuve Éditions), également prix Polar francophone à Cognac. Les Morsures de l’ombre (Fleuve Éditions, 2007), son troisième roman, a reçu le prix Intramuros, le prix SNCF du polar et le prix Derrière les murs. Meurtres pour rédemption (Fleuve Éditions, 2010) est considéré comme un chef-d’oeuvre du roman noir. Ses livres sont traduits dans plusieurs pays et, pour certains, en cours d’adaptation audiovisuelle. Chiens de sang (2008), Jusqu’à ce que la mort nous unisse (2009), Purgatoire des innocents (2013) et Satan était un ange (2014) ont paru chez Fleuve Éditions. Tous ces livres sont repris chez Pocket. En 2016, De force a paru chez Belfond (Pocket, 2017), suivi du recueil de nouvelles D’ombre et de silence (2017) et de Toutes blessent, la dernière tue (2018) chez le même éditeur.
Avis clients
Faites-nous part de votre avis sur le produit ou consultez les avis des autres membres.